Pourquoi faire une thérapie ?

Vous pouvez me consulter pour différentes problématiques. En voici quelques exemples, non exhaustifs :

– Je suis adulte, je me sens mal.

– Je suis une jeune maman, je suis perdue.

– Je suis parent, je ne sais plus quoi faire avec mon enfant.

– Je suis ado, c’est la crise.

JE SUIS ADULTE, JE ME SENS MAL

J’ai perdu mon travail / Je ne trouve pas de travail. Je suis nul, je ne sers à rien.

Je travaille comme un fou, mais personne ne me remercie. Au contraire, on me fait comprendre que ce que je travaille mal, alors que j’ai toujours été bon dans ce que je fais.

Depuis que je suis à la retraite, je déprime.

Je viens d’apprendre que je suis gravement malade.

J’ai vécu un évènement traumatisant dans mon enfance ou récemment. Je n’en parle pas, mais ça me hante.

J’ai perdu une personne proche et depuis, je n’y arrive plus.

Depuis quelques temps, dans ma vie, quelque chose coince. Je ne sais pas exactement quoi, mais ça ne va plus, au niveau professionnel, amoureux, social ou familial… Ce que j’ai construit jusqu’à présent semble perdre de son sens, un peu comme si ma vie m’échappait, comme si je n’avais pas choisi grand chose, finalement.

Je me sens mal, alors que j’ai tout pour être heureux.

Je dors mal, je vais au boulot en traînant les pieds, je trompe mon conjoint, je me suis remis à fumer, je bois plus souvent qu’avant …

Il y a des signaux qui se mettent en marche et qui signifient qu’il est temps de se faire aider. Pour faire le ménage dans sa tête et y voir plus clair, pour comprendre qui l’on est, pour faire le tri entre ses croyances bloquantes et ses besoins réels. Finalement pour reprendre sa vie en main et vivre pleinement ce que l’on a à vivre, en conscience.

 

Avoir un bébé, c’est magnifique ! Mais c’est aussi complètement déboussolant…

Mon corps n’est plus le même, je ne dors plus, je suis fatiguée, je n’ai plus envie de faire l’amour avec mon conjoint, d’ailleurs, on s’engueule plus qu’avant.

Ou bien, je suis seule avec mon bébé et je crois que je n’y arriverai jamais.

J’aime ce bébé plus que tout et, en même temps, j’ai parfois envie de le faire disparaître, je n’en peux plus de ces pleurs. On me donne plein de conseils, j’ai lu des livres, mais je n’y arrive plus.

J’ai envie de reprendre le travail, mais je suis tiraillée entre l’envie de retrouver ma vie de femme et l’envie de rester avec mon bébé.

J’ai l’impression de ne pas être une bonne mère.

Pourquoi les autres ont l’air d’y arriver et pas moi ?

Il est temps d’aller voir un psy pour y voir plus clair, pour reprendre confiance en soi,  pour retrouver une relation épanouie avec le conjoint et pour faire les choix qui vous correspondent. Beaucoup de mères vivent une déprime après la naissance de leur enfant. On en parle peu, c’est tabou. Mais cela existe et il ne faut pas rester seule dans cette situation.

 

J’aime mon enfant, je fais tout pour qu’il ne manque de rien, je pense être un bon parent, et pourtant, il/elle m’en veut, me parle mal, fugue, fume, me ment, se met en danger…

Mon enfant a changé de comportement du jour au lendemain, mais il ne veut pas me parler.

Mon enfant a fait une tentative de suicide.

Mon enfant ne travaille plus à l’école / ne peut plus passer la porte de l’école/du collège.

Mon enfant fait des crises d’angoisse.

J’ai peur pour mon enfant, je ne sais plus comment faire.

Je ne suis pas le parent que j’aimerais être.

J’ai des crises de colère que je regrette après coup. Mais je n’arrive pas à me contrôler.

J’élève seul(e) mon enfant, c’est difficile d’être à la fois le papa et la maman.

Mon ex et moi ne nous entendons pas, notre enfant est devenu un outil de chantage, je vois bien qu’il est perturbé par la situation.

On m’a dit que mon enfant était hyperactif. C’est grave ?

Etre parent, ce n’est pas simple, mais ça peut s’apprendre. Un accompagnement bienveillant vous permettra d’y voir plus clair, de comprendre ce qui se joue entre vous et votre enfant, et d’apaiser la situation familiale.

Dans ce cadre, une thérapie va vous aider à mieux vous positionner en tant que parent, et sûrement de revisiter votre liens à vos propres parents. Quels parents avez-vous eu ? Quel enfant avez-vous été ?

 

 

L’adolescence, ce n’est pas simple. D’abord, on ne sait pas vraiment quand ça commence (de plus en plus tôt, semble-t-il) ni quand ça finit (de plus en plus tard, semble-t-il !). Pendant cette période, un processus se met en place : on quitte son identité d’enfant pour devenir un adulte. Ça peut prendre du temps et ça peut amener sur des chemins chaotiques.

Physiquement, mon corps se transforme, je n’aime pas trop ce qu’il devient, c’est bizarre. Je peux avoir envie de le sculpter, de faire du sport, de m’habiller serré pour le montrer, ou au contraire, je peux avoir envie de me cacher sous des vêtements amples et sombres, et puis je me maltraite parce que parfois, ça fait moins mal de brutaliser mon corps que d’écouter tout ce qui se passe dans ma tête.

Le monde tel qu’il est me déçoit. J’ai envie de refaire le monde.

Mes parents que j’admirais jusqu’à présent ne comprennent rien à rien. Je préfère parler à mes amis. Mais je sens bien que ça ne suffit pas.

J‘en ai plus rien à faire des études, j’ai envie de tout arrêter.

Au contraire, je bosse tout le temps, je travaille tard le soir, j’ai peur d’échouer, j’angoisse à l’approche d’évaluations.

Je suis mélancolique, triste, je me sens seul et incompris.

Je préfère rester seul. De toute façon, je n’ai pas d’ami.

Au collège, au lycée, on se moque toujours de moi.

Je suis nulle, je suis moche, la preuve : je n’ai pas d’amoureux(se).

J’ai vécu quelque chose de terrible dont je ne peux parler à personne.

Il est temps d’aller voir un psy, pour pouvoir échanger avec quelqu’un qui peut tout entendre, qui ne va pas juger et qui peut aider à comprendre ce qui se passe.

 

adulte – couple – adolescent – nourrisson – parentalité – maternité – éducation bienveillante – discipline positive – baby blues